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Les philosophes philosophent concernant le sujet de l’infidélité

Qui, au moins une fois dans sa vie, n’a jamais eu envie de tromper son / sa partenaire ? Et qui n’a jamais ou ne sera jamais trompé ?

Penser qu’il existe des hommes et des femmes qui ne sont jamais tombés dans la tentation durant toute leur vie, c’est beau … Mais réaliste ? Hum, pas trop …

En réalité, les couples fidèles au-delà de plusieurs années (ou même moins) sont très rares. Ils sont, selon toutes les études / statistiques, une minorité !

De nombreuses questions nous amènent à penser que l’infidélité est comme une sorte de révélateur de la nature humaine, de ses limites et de ses faiblesses.

La question de l’extraconjugalité met en lumière le fossé entre le bien et le mal en chacun de nous.

Il y a des aspects négatifs, mais aussi des aspects positifs.

Attardons nous un instant sur les côtés positifs …

En substance, pour les couples qui sont ensemble depuis des années, l’infidélité permet d’échapper à l’ennui et au carcan du couple / du mariage. La créativité, la montée d’adrénaline, ce sentiment de plaisir que l’on éprouve en transgressant les règles, l’interdit … Souvent, les premières incartades font ressurgir des plaisirs oubliés.

Il s’agit d’une sorte de comportement inné de survie et d’une philosophie de vie non seulement pour ceux qui se considèrent comme infidèles et libertins, mais aussi pour tous ceux qui se soucient de leur propre bien-être psychophysique.

Envie de faire des rencontres discrètes ?

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