Nous nous sommes amusés à essayer de dresser un portrait des personnes infidèles en nous inspirant d’une méthodologie bien particulière : la méthodologie des 5 W !
Les infidèles sont par définition des gens qui sont déjà en couple.
Ces personnes ont souvent plus de 30 ans. Elles ont souvent un bon niveau d’étude (bac+3) et une certaine sécurité financière.
La proportion d’hommes infidèles reste aujourd’hui encore supérieure à celle des femmes.
De quoi parle-t-on exactement ?
La définition de l’infidélité évoque le fait de ne pas être fidèles à ses engagements conjugaux.
Cette infidélité peut-être :
Nous reviendrons plus précisément sur cette distinction plus bas.
La première infidélité survient généralement lors de l’adolescence.
Les cas d’infidélités diminuent à partir de 25 ans, âge où l’on décide souvent de s’installer avec quelqu’un qui nous plaît.
Les choses deviennent différentes à partir de 30 ans. Le couple est soumis à différentes épreuves : caractères qui évoluent, envies différentes, routine, réflexions déplacées, disputes … et pourquoi pas infidélité lorsque l’on est déçu des sacrifies passés ?
Ce type de scénario perdure au-delà de 40 ans.
Il tend par contre à se tasser à partir de 50 ans (même si le vieillissement de la population déplace progressivement le curseur).
Le portrait dressé ici se base sur les informations qui concernent des personnes infidèles situées en France.
Existe-t-il des caractéristiques géographiques ?
Il semblerait bien :
Les villes du Sud de la France semblent en effet regrouper plus de membres.
Effet lié au climat plus clément, et donc aux occasions d’avoir envie de sortir ? Qui sait ?
Autre remarque : le classement des villes qui comportent le plus de membres infidèles recoupe grosso modo le classement des principales villes de France.
Explication : les occasions de devenir infidèle restent plus fortes dans les zones urbaines.
L’infidélité est-elle plus liée au besoin de vivre de nouvelles expériences sexuelles en dehors du couple ou plutôt le signe d’un manque au sein du couple ?
Les femmes font majoritairement référence à un manque affectif.
Et du côté des hommes ? On pourrait s’attendre à ce que les réponses penchent clairement du côté de l’envie d’avoir une sexualité plus riche. Mais c’est pourtant bien le manque d’amour qui arrive en première position dans les réponses (avec un écart certes assez faible mais tout de même) !